Delannoy - Agathe, Mélanie - 19 années - française

Histoire Presque toutes les histoires commencent par la naissance du personnage. Celle-ci ne commencera pas ici, un peu plus tard à vrai dire. Il n'est pas inutile de préciser que la venue au monde d'un enfant n'est pas ce qu'il y a de plus important sauf si l'enfant fut abandonner à la naissance, ce qui n'est pas le cas d'Agathe. On va juste préciser dans quel monde elle a vu le jour. La famille Delannoy est une famille typique parisienne chique. Riche, elle habite dans le 7ème arrondissement, dans les "beaux quartiers" comme on dit. Du coup, Agathe n'a jamais manqué de rien. Seconde fille, la plus grande avait déjà quatre ans à sa naissance. Son père est politicien, il travaille avec le gouvernement Sarkozy dans les relations inter-continentales. Sa mère, quant à elle, est directrice d'une bijouterie sur les Champs Élisée. Autant dire que l'argent ce n'est pas ce qu'il manquait à la maison. La seule chose qui manquait c'était un peu d'amour. Voilà dans quel monde est née Agathe. Autant dire que question limite elle n'en avait pas. C'est ce qui poussa la jeune fille a se montrer égoïste et pourrie gâtée. Enfin ça ne l'empêcha pas de garder un caractère jovial, optimiste et même généreux, dans la limite du raisonnable. Les grands moments de sa vie se résument ici. La miss étant une fille a garçon, c'est à l'âge de six ans qu'elle eu son premier copain. A cet âge on ne comprend pas trop bien le mal que pourrait faire une relation aussi précoce, mais c'est ce qui poussa la jeune fille a toujours avoir un petit copain sous la main. Le manque de considération à la maison, l'amour que pouvait relativement lui procurer une relation lui laissa la peur d'être seule. Depuis elle enchaîne garçon sur garçon. C'est étrange parce que de toute façon elle ne reste avec aucun, comme ci tout cela n'était qu'un jeu. Mais c'est plus la peur de l'engagement qui fait que personne ne reste dans le cœur de la demoiselle. Elle perdit sa virginité à 16 ans, sans vraiment d'amour mais plus avec pulsion. Elle le regrette au fond d'elle mais en façade dira à toutes ses copines qu'elle s'en fiche et que ça lui permet d'avoir des relations quand elle veut. Elle commence à fumer à 15 ans et arrête à 18 ans après avoir passer un été dans un hôpital dans l'aile du cancer. Férue d'alcool en tout genre, elle le tient plutôt bien et il faut en vouloir pour la saouler. Assez bonne élève, elle enchaîne au baccalauréat scientifique l'université afin de devenir pédiatre. Une revanche sur le manque d'amour ? Probablement. Elle choisi l'université de sa sœur qu'elle considère malgré tout comme un modèle. Un repère dans ce monde où elle se perd si souvent. C'est donc sa première année qui commence ici.

Ce que vous pensez des white rabbits ? Ce que je pense de ce groupe de fous plutôt étrange ? Je dirais que comme ça, de loin, j'les envies. Ils se sont bien installé dans l'université et ils sont très populaires. Tout passe par eux. Ce sont un peu les rois du monde ici. J'aime. J'adhère. Sauf quand on doit faire toujours attention à ce qu'on fait pour ne pas les brusquer...C'est le truc naz de l'histoire. Et puis ça me fait de la peine de voir tous ces bizuts qui évitent le plus possible le gang. Et la peur de lire son nom sur cette fichue feuille. Enfin tout ça n'enlève pas mon admiration pour ce groupe aux idées plus farfelues les unes que les autres. Je suis du genre un peu je-m'en-foutisme, et à vrai dire, je ne fais pas trop attention à tout ce qu'ils font, je ne suis pas leurs aventures jour après jour, seulement quand elle me tombe sous le nez. On a chacun sa vie, son groupe d'ami, eux ils ont su se faire connaitre dans tout l'établissement. Après tout, la plus part des élèves peuvent faire comme eux, si leur ambition du pouvoir le leur permet. Je préfère de loin m'amuser tranquillement de mon côté, soirée après soirée en attendant mon diplôme. Pour revenir aux white rabbits en gros j'aime leur style sans pour autant m'en soucier plus que cela. Après tout en tant que première année, je n'ai pas trop eu l'occasion de faire connaissance avec eux.

Lisandre Desproges ─ charismatique, agréable à regarder, ce n'est pourtant pas mon style de garçon. Un peu trop calme et parfois timide. En tant que pseudo leader des white rabbits j'trouve ça limite ridicule. Seul son côté plutôt flippant qui lui permet de bizuter les étudiants le rend un peu plus intéressant. Mais je dirais là encore, trop bizarre à mon gout.

Dorante Gallachoyl ─ lui c'est mon préféré. Je le trouve trop sex. Physiquement mais aussi dans son comportement. Peut-être un peu trop enjôleur, mais il me fait rire. De loin bien évidemment, puisque je ne lui ai jamais adressé la parole. Je crois que je ne refuserais pas une petite aventure avec lui...

Misha Claudel ─ j'aime son côté je-m'en-foutisme, bien dans sa peau. Elle fait ce qu'elle veut quand elle veut, ça c'est une vie. Je dirais j'émets juste un bémol. Je comprends pas comment elle peut attirer tous les mecs comme ça. Après tout, sans être méchante, elle n'a rien de spécial...Enfin bon chacun ses gouts après tout.

Adriel Chamfort ─ il parait qu'il collectionne des canards *o* enfin ça n'est pas le pire ! Si vous voulez taper dans le lourdingue bienvenue sur la planète Adriel ! Ce mec c'est un séducteur ambulant, cherchant à conquérir le plus de fille ! Dommage pour lui, son petit jeu ne marche pas avec moi...Trop de drague tue la drague. Aurait-il quelque chose à cacher ?

Noah de Beaumont ─ si je connais son nom c'est surtout parce que c'est toujours par lui que démarre la chasse aux têtes de turcs. Je pense que c'est le plus dangereux. Je l'ai déjà croisé mais il est véritablement invisible si on oublie les ongles peints et les tongues. En tout cas, je me méfie de lui...

Eraste Legalche ─ autant dire que Eraste est plus mon genre. Toutes les filles aiment les bad boy et j'ai un petit faible pour ce motard. Il parait qu'il a un humour pourri mais j'ai déjà entendu une de ses blagues et j'trouve ça drôle...Enfin c'est peut-être parce que j'ai aussi un humour pourri...