Lewis, Marie Crystal - 19 ans - Americaine

Histoire -
On a pas tous la chance de naître avec sa mère et son père à ses côtés, dans un petit hôpital pour riches ... Nan, la naissance de Marie est loin de s'être passée comme cela.
Et si on commençait par le début? Oui, bonne idée, très bonne même! Alors déjà, Marie est née chez elle, avec seulement sa mère, et sa grand mère. Pourquoi pas de papa? Bonne question, et la jeune fille dû grandir avec pour seule réponse "papa? Il est pas là".
Elle a bien eu le droit à de nombreuses excuses, dans le genre le jour de ses 6 ans, où sa mère lui a dit "Papa est en voyage", ou dans l'année de ses 10 ans, quand elle lui a dit que son père lui avait envoyé une lettre. Marie n'était pas bête, elle reconnaissait l'ecriture de sa mère, même si elle la masquait au maximum. La jeune fille grandit alors et finit par se faire à l'idée que son père devait être mort et qu'elle ne le verrait jamais.
Marie eut une scolarité exemplaire : Première de la classe dans 98% de ses résultats, les 2% restants elle était la seconde. Sa mère adorant la France, la petite brune apprit à le parler couramment avant même d'avoir eu 8 ans. Seulement voilà, plus elle grandissait, plus elle sentait Jane Lewis devenir distante et dure avec sa fille, qui pourtant se battait pour garder sa fierté. L'année des seize ans de Marie, sa mère tomba gravement malade et du arrêter son emploi en tant que journaliste. Marie cessa d'aller au lycée trois mois avant la fin de son année de première et ne revint que pour le bac. Elle s'occupa de sa mère comme elle put, mais celle-ci se laissait mourir.

C'est alors qu'arriva la journée qui bouleversa à tout jamais l'existence de l'adolescente. En septembre 2007 (Marie venait alors tout juste de fêter ses 17 ans), Jane Lewis vivait ses dernière heures à l'hôpital de New York, et elle demanda à ce que sa fille vienne seule à son chevet. La brunette aux yeux chocolat vint s'agenouiller près d'elle, et obtint les révélations qu'elle cherchaient depuis sa naissance.

- Ma petite Marie, ma perle, mon cristal, tu sais, ce n'est pas ce que j'ai voulu, loin de là ... J'aurais dû t'en parler avant, mais aujourd'hui est le meilleur jour, je m'endormirais avec ce poids en moins sur la conscience ...- Maman, de quoi me parles-tu? Je ne comprend pas ...
- Tu as ses yeux, et la même faucette au coin du visage quand tu es troublée...
- Les yeux de qui? Expliques-toi, maman, s'il te plait.
- De ton père. (un saut agita le coeur de Marie à cet instant) Lorsque je l'ai connu, nous étions encore très jeunes, et pourtant fous amoureux. Mais il fréquentait des personnes mauvaises, qui l'influençaient parfois dans leurs opinions. Oh ma petite Marie, quand j'ai su que j'attendais un enfant, tu te doutes bien que je ne pouvais me résoudre à rester avec lui ...
- Attends, maman, tu es en train de me dire que tu as jeter mon père parce qu'il avait de mauvaises fréquentations?! C'est pas vrai ... Connait-il au moins mon existence? Comment oses-tu me dire ça aujourd'hui seulement ?
- Il ne sait rien de toi, je l'ai quitté sans lui dire où j'allais, ni l'évenement que j'attendais.
- Quel est son nom? Maman, dit moi son nom !
- Il s'apelle Carl Hy..

Ce furent sur ces derniers mots que Jane Lewis connu la fin de ses jours. La haine qui agitait le coeur de Marie à cet instant lui fit quitter l'hôpital sans la moindre tristesse. Bien sur je vous rassure, la nuit qui suivit elle fondit malgré tout en larmes.
C'est alors que s'entama une course contre la montre. A 17 ans, presque 18, Marie fut diplomée de son lycée, et elle retourna l'appartement où elle vivait avec sa mère. La jeune femme découvrit sous le lit de Jane une pile de documents au nom de Carl Hyde. Son père. Pendant une année entière elle fit des recherches, et découvrit enfin que c'était à Paris qu'il habitait actuellement, et enseignait même l'anglais dans une université. Génial, Marie savait ce qu'il lui restait à faire dans ce cas. Alors, elle sauta dans le premier avion et atterit à Paris. Son inscription à l'université fut immédiatement validée, et depuis, en silence, la demoiselle enquête sur cet homme mysterieux dont elle a apprit qu'elle était la fille ...

Ce que vous pensez des white rabbits ? - parlez du 'gang' de manière générale puis, dites votre avis de chacun sur chacun des membres qui le composent. Minimum 17 lignes -
White Rabbits, White Rabbits ... Hein? Les White Rabbits? Ces gens, là? Ils sont loin d'impressionner Marie. Elle ne les connait pas spécialement, et ils ne la connaissent pas non plus. Vous me direz, ayant été la coqueluche de son lycée en Amerique, elle n'a franchement rien à leur envier, que ce soit leur démarche de star ou leurs fringues de marque, Marie possède déjà tout ça, et même que son accent légérement americain lui ajoute de la classe *et toc*
Bref, quoi qu'il en soit, on verra bien à l'avenir comment la demoiselle va voir ce groupe, si c'est d'un bon, ou d'un mauvais oeil ..
Alors, si on fait l'inventaire, commençons par Adriel. Ce type à l'air d'être une véritable baraque à frites, toujours collé au derrière d'une fille, et en général, ce n'est certainement pas dans les yeux qu'il va les regarder, Oh non >.<' Marie ne lui parle jamais, mais elle rit souvent en l'observant avec sa technique de drague, qui ne marcherait certainement pas sur elle.
Ensuite ... Tiens, Eraste. C'est sûrement le mauvais type de la bande, le bad boy comme elle dirait chez elle. Franchement, elle se moque de ses airs de mauvais garçon, ça ne l'effraie pas vraiment. Sans doute son côté mauvaise fille (qu'elle tiens de papa *siffle*) qui prend le dessus.
Suivant ! Ah, Dorante. Baah, franchement, si Marie devait le classer, il irait bien avec Adriel. Hey les gars, pourquoi pas devenir gays? *okay je sort >.>*
Apreees, viens oooh ce cher Noah de Beaumont. Combien de fois est ce qu'elle l'a vu se prendre la tête avec son père depuis une semaine qu'elle est là? 21, 22 fois? Ah nan, 42 >.< *zbaff
Et pour finiir, Mlle Misha Claudel, la seule fille de cette bande de lapins blancs. En fait, elle ressemble pas mal a Marie, dans l'genre mauvaise fille super classe, ça se trouve elles pourraient s'entendre ! *papa va m'tuer*